Jaillissement profond, instinctivement bestial, Eruption lente de verre et de métal, Ultime soubresaut de mon cœur animal, Désintégrant mon âme dans un ciel de cristal, Il te reste mes larmes et mon amour létal.
Saltimbanque de l'amour, Aristocrate des faubourgs, Marionnettiste sans humour, Equilibriste au fil des jours, Devin sans un détour, Il est temps d'appeler les secours.
Dithyrambique tension, Incongrue pulsion. Maléfique vision, Animale intention. Noire improvisation, Callipyge révolution. Héroïque destination, Et s'effacent les émotions.
Mécanique et dénué de sentiments, Alambiqué à la limite de l’islandisme, Régularité d’un mécanisme Dédié seulement aux plaisirs-égoïsmes. Insidieux est ce désir sans amant.
Labyrinthique souterrain, Unicité d'un noir chemin Nauséabond et sibyllin. Détruisez-vous avant demain, Interrompez maintenant le coït du destin.
Pas de triomphalisme exacerbé, ni d'enthousiasme hors de propos. Apparemment il pourrait y avoir une lumière au bout du tunnel qui permettra peut-être à Fred de reposer en paix. La Dépêche du Midi du 13 décembre 2008.
Sommes-nous capables de considérer le Passé comme achevé et non comme la source de fantasmes projetés vers l’Avenir ? Vivrons nous sur des ruines ou bien bâtirons nous un véritable renouveau ? Le 03/03/1998