13 août 2007
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10:24
Un article de mon "amie" Claire - nommé "Ne pas donner de confiture aux cochons " et que je vous encourage à aller lire - m'a inspiré ce petit commentaire.
Alors comme il me plaisait - pas de fausse modestie chez moi - et juste pour le plaisir, j'en ai fait cet article.
Merci Claire pour l'inspiration :0002:
Mais qu'en est-il des truies ? Pour quelle raison seraient-elles mises à l'écart sous prétexte que dire d'une femme qu'elle est une truie à un côté bien plus péjoratif que de dire d'un homme que c'est un cochon.
Et je ne vous parle pas du côté "machiste primaire" quant à dire d'une femme que c'est une cochonne.
Cela me rappelle ma jeunesse quand avec un copain nous appelions nos petites amies "petites gorettes". C'était réellement un mot gentil.
Si je vous assure et elles le prenaient comme tel.
C'est du même ordre d'idée que la "phrase" de Léo Ferré qui répondit à la question posée par un journaliste après que Léo ait dit : "Les femmes sont des chiennes."
- Et vous les hommes, vous êtes quoi ?
- Nous ? Nous sommes des chiens et nous ne sommes pas contre le fait que les chiennes viennent aux chiens.
Bon je m'égare là comme disait Saint-Lazare en descendant de l'Ascenseur de 22h43 en provenance de Babylone.
Bref rendons hommage à toutes ces truies tombées au champ d'honneur en chantant : Tiens t'auras du boudin....
18 juin 2007
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16:45
Me dit que ça doit être la météo orageuse qui tape sur la cervelle de certains.
Le virtuel du Web a créé une nouvelle « race » d'aigris exhibitionnistes, ceux qui viennent donner libre cours à leurs querelles familiales et intestines en commentaires sur les blogs ou mieux encore dans des posts sur des forums publics plutôt qu'utiliser leurs adresses e-mail.
Je me demande si je suis pas has-been à avoir envie de leur claquer le baigneur en lisant leurs prose nauséabonde.
Peut-être que je devrais m'y mettre ?
C'est vrai quoi !
Je vais venir pleurer dans un forum que Ma Fille a omis de me « souhaiter » la fête des pères et juste après, une fois qu'elle a déposé à son tour un post où elle semble un peu "merdeuse" comme on dit ici, se sentant « coupable » et en même temps « vexée » d'avoir « raté » cela, hop je viens vomir ma « rancœur » en la menaçant de « dévoiler » tout l'indicible personnel et familial - histoire qu'elle soit rabaissée plus bas que terre -et que même si elle faisait une petite TS, ça pourrait même me procurer un certain plaisir - coupable certes - mais pour certain(s) ne sont-ils pas les meilleurs.
Bref ça devient glauque le Net par moment et par endroit, va falloir des hectolitres d'eau de javel parfumée au Pin des Landes pour désinfecter tout cela…
Tiens un exemple concret.
Ma seconde fille a « oublié » de m'appeler hier pour la fête des pères.
Devrais-je pour autant lui dire d'aller se faire voir quand le 1er juillet, ayant résilié son bail et pas encore signé pour un autre appartement - faute de boulot en CDI -, elle sera sans logis, et de l'envoyer rejoindre la foule de SDF qui squatte autour de la gare ?
C'est vrai quoi ils sont ingrats ces momes, ils osent penser que parce qu'ils n'ont pas demandé à venir au monde, ils ne sont pas obligés de nous vénérer et de nous respecter alors que nous, nous ne le faisons pas !
11 mai 2007
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15:27
Comme ce rayon de soleil passant à travers un ciel plombé apporte un peu de chaleur sur nos bras dénudés, ces lèvres se posant délicatement au creux de ma nuque diffusent un bien-être entremêlé de frissons de la racine des cheveux - se dressant comme des épis rebelles - au creux de mes reins, avant de se transformer en ondes de chaleur venant mourir dans mon ventre comme ces vagues sur la plage de sable fin d'un atoll de l'Océan Indien.
Comment expliquer ce qui se ressent mais qui appartient pour moi au monde de l'indicible ?
Comment mettre en mots les effets de ta bouche effleurant ma peau ?
Et surtout à quoi bon...
Je sais, tu sais, je sens, tu sens et rien d'autre n'a d'importance, que ce plaisir diffus que tu m'offres à l'improviste et juste pour le plaisir.
Alors embrasse moi encore !
28 mars 2007
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14:41
Le rideau qui séparait la cuisine du salon-salle à manger s’envola brusquement pour laisser le passage à la corpulence impressionnante et volumineuse d’Igor, lequel trébucha à moitié en accrochant sa mule dans le tapis et s’effondra lourdement sur le canapé dont les ressorts gémirent sous le choc.
Il ferma un instant les yeux, le temps de se dire « Oh ça tourne ! » et « Voilà ce que c’est que ne pas être capable de lever les pieds ».
En les ouvrant il découvrit Katia qui le fixait sans rien dire, assise à la grande table de chêne trônant au centre de la pièce, tout en dégustant lentement la sole meunière qui fumait dans son assiette.
Il allait lui demander ce qu’elle faisait là mais le regard qu’elle lui lança le dissuada de prononcer un seul mot.
Tant pis se dit-il, je vais attendre qu’elle ait terminé de déjeuner.
Mais Igor n’eut pas à patienter aussi longtemps,
Katia avala sa bouchée avec précaution, s’essuya les lèvres avec la serviette qu’elle portait nouée autour du cou et sortant un revolver du holster attaché à sa ceinture elle tira une balle droit entre les deux yeux de celui-ci qui s’enfonça plus encore dans le sofa.
Elle rangea son arme et se remit à manger comme si rien ne s’était passé.
Si quelqu’un avait « osé » lui demander une explication elle aurait répondu :
« Je déteste qu’on me fasse sursauter quand je mange du poisson, j’aurais pu m’étouffer en avalant une arête. »
C’est vrai quoi !
6 janvier 2007
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11:51
Soleil lumineux presque blanc...Ciel bleu avec des reflets pâles comme une chevelure de nuages albinos...Le vents est devenu brise légère peinant à soulever les feuilles mortes qui tapissent mon jardin...Au loin un chien donne de la voix pour qu'on lui ouvre la porte... Il a beau être poilu épais, il fait plus chaud à l'intérieur... Les pigeons et tourterelles du chateau roucoulent allègrement, volant de toit en toit, de balcon en balcon...On croirait le début d'un film de Lelouch, on s'attend presque à entendre une musique de Michel Legrand... Ca sent le bonheur et la joie de vivre à plein poumons...
Mais alors pourquoi j'ai cette chanson de Cali dans la tête :
C'est quand le bonheur...????
27 décembre 2006
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11:46
La fleur que tu m'avais jetée,
Je me suis baissée pour la ramasser.
Brusquement tu es entré,
Alors très fort vraiment j'ai crié
Et tout doucement tu es sorti...
7 décembre 2006
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15:17
Un impromptu qui m'est venu en lisant le dernier article de Laurélyne. Il est d'ailleurs en commentaire sur son article.
Cliquez Là pour accéder à son Article
Merci encore Lauré' !
Extérioriser sur une feuille de papiers, ses joies, ses peines,ses douleurs, ses bonheurs,...
Bref tous ces instants où on est à l'envers, que ce soit en ayant envie de crier "je t'aime" au monde entier ou de se terrer dans une placard, s'enfoncer dans l'épaisseur d'un manteau avec l'espoir insensé de se fondre définitivement dans ses fibres et d'y disparaitre à jamais...
Oui écrire est pour moi une thérapie du bonheur ou du malheur.... et ce depuis plus de 30 ans !
Ecrivez, écrivez, il en restera toujours quelque chose...
21 novembre 2006
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11:27
Cet article avec la photo de "Mon Bureau" et les com' s'y rapportant m'ont donné envie de vous parler d'un de mes rêves fantasmatiques qui malheureusement ne se réalisera pas avant que je ne m'éclipse... Mais qu'importe je le vivrai dans ma prochaine réincarnation... Enfin à condition que cela ne soit pas en limace ou en ver de terre !
Dans ce rapport avec l'ordinateur, mon rêve serait de me débarrasser définitivement du clavier et de la souris. J'aurai un datajack dans la tempe qui me permettrait de faire exécuter directement à l'ordi en pensant simplement... Le temps de gagné sur l'écriture par exemple, rien que ça ce serait génial !
Mais le vrai cyber-fantasme ce serait que grace à cet datajack j'irai surfer sur et dans la "matrice"... L'avatar ne serait plus juste une icône sur un forum ou un IM mais un personnage réel existant dans ce monde virtuel... Imaginez vous d'une simple pensée vous retrouver au cour d'un temple Inca ou en plein New York...Ce serait gigantesque moi je trouve... Mais bon j'ai peut-être un peu trop lu Shadowrun moi...
Tant pis ce sera pour une autre fois.
20 novembre 2006
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12:58
Je vous l'avais promise, voici la suite et fin de cet écrit de 1980, rédigé lui aussi sur un morceau de papier volant... Etonnant que je ne l'ai pas perdu.
Toi Isa sans qui la vie n’existerait pas, tu es le Soleil qui réchauffe mon cœur et mon âme : Tu es l’Ultime Découverte. Je te reconnais ma belle étincelle, tu occupes mon esprit, ta place est dans mon cœur, tu le régénères à la vitesse de la lumière. Tu es la poussière d’étoile illuminant le paysage de mon esprit. Je ne vis que par toi et vers toi : tu es ma Reine de Lumière. Je t’attendais depuis si longtemps que j’ai l’impression de t’avoir toujours connue. Que ne t’ai-je rencontrée plus tôt… Tu m’aurais évité tellement d’impasses sentimentales… Quoique, je me demande si t’ayant connue trop tôt j’aurais su t’apprécier à ta juste valeur ? Allez…. Je te connais maintenant et ne t’oublierai plus.
17 novembre 2006
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16:40
Ecrit en 1980 sur un bout de papier genre dos d'enveloppe... Il y a une suite, je vous la donnerai bientôt... Mais rien après...
Le Soleil du Bonheur a envahi mon être,
Tu dois te demander à cause de qui peut-être,
Mais c’est à cause de toi ma Belle aux yeux d’argent,
Rencontrée par un matin luminescent.
Flottant dans une douce démence,
Baigné il est vrai dans l’impatience,
Je souris à l’inconscience,
Et je flirte avec l’indifférence.
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